• Un intense moment d'émotion, presque une larme à l'oeil, je viens d'installer mon premier émulateur PS2, d'insérer SHADOW HEART COVENANT, ...déja le menu de démarrage de la PS2, me renvoi quelques années en arrière, puis le jeu se lance, la video, c'est toujours aussi bien fait, et je vais enfin pouvoir me remettre à des titres PS2 lâchement abandonnés...la joie s'empare de moi, quand je vois que l'émulateur lit mes CD PS2...et ça fonctionne très bien. Mieux, je converti mon disque en ISO, et ça fonctionne également. Je suis comme un enfant devant un nouveau jouet, je suis émerveillé par la prouesse de faire tourner mes jeux PS2 sur mon PC, et me dire que je vais pouvoir terminer SH covenant, certains FF, et d'autres titres incontournables de la PS2, c'est tout simplement génial. Branchement d'une manettes PS3, c'est reconnu...rien à dire, c'est encore meilleur.


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  • En ce moment sur mon PC - MASS EFFECT 2 - Terminé

    Et voilà !!! Je viens de terminer le second tome de la trilogie Mass Effect. Que dire, si ce n'est que c'est un jeu immense, par sa mise en scène, son background, et des phases d'actions améliorées par rapport au premier épisode. Alors le début est surprenant quand on commence le jeu, nos repères sont un peu chamboulés, on pense avoir perdu l'âme de notre jeu favoris, puis, on se rend compte que Bioware l'a dépouillé un peu de choses superflues, qui ne nous manquent pas tant que ça au fil de l'aventure.

    Adieu l'inventaire, les compétences se transforment en liste réduiite de compoétences spéciales...et alors. Finalement il ne reste que le nécessaire, a savoir le développement des pouvoirs spéciaux, une gestion centralisées des améliorations couplées au nouveau système de récupération de ressources, qui il faut l'avouer est un peu rébarbatif.

    Mais à côté de cela, on a une histoire géniale du début à la conclusion, des choix à faire dans l'aventure, mais si on a parfois l'impression qu'ils sont pour la plupart binaires, ils n'en demeurent pas moins difficile à faire de temps en temps. Le seul petit reproche que je peux faire au système de dialogue, c'est que parfois on est surpris par le ton du personnage et la tournure du dialogue, il manque un peu de détail dans le choix de la proposition, et on ne sait pas sur quel ton va parler notre personnage.

    Tous les personnages rencontrés(il faut recruter une bande de mercenaires dans cet épisode), sont authentiques, ils ont tous une histoire plus ou moins intéressante, qui donne lieu a une mission pour les rendre plus loyaux envers nous, ou neutre. Les environnements ont aussi gagnés en beauté ce qu'ils ont perdu en taille. On se retrouve le plus souvent à suivre un couloir plus ou moins vaste avec quelques bifurcations. Mais finalement c'était le cas du premier épisodes aussi. Ici, les bases sont assez différentes, les styles très différents, et on a vraiemnt l'impression de participer à la mission ultime de mass effect. Le MAKKO a un remplaçant dans le jeu, mais il est facultatif, et utiliser pour quelques missions annexes. Moi j'aimais bien le Makko dans le premier épisode contrairement à beaucoup de joueurs, mais ici ça ressemble plus a une tentative abandonnée en cours de développement qu'à un véhicule absolument nécessaire.

    Mass Effect 2 est un vrai rpg, durant lequel on a vraiement l'impression de changer le cours de l'histoire, et ce jusqu'au dernier moment, le choix ultime du jeu m'a vraiemnt agréablement surpris, et finalement, c'était un moment que j'attendais depuis le début du jeu. Je trouve même que le jeu a su habilement manipuler le joueur, et à un moement je me suis demandé si j'avais vraiment fais les bons choix. Ce genre de jeu est rare, si vous aimez les space opéra, et un peu les Third Person Shooter, il faut absolument y jouer, c'est une perle.

    Dans une semaine je vais attaquer le dernier épisode, je suis impatient, mais j'ai besoin d'une petite pause pour profityer et me remémorer les passages de cet épisode, et changer de style de jeu durant la semaine. Je vais d'ailleurs tenter de faire une vidéo découverte de Tales Of Graces F que j'ai récupéré récemment.


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  • Arrivée - DARK SOULS & TALES OF GRACES F

    Tandis que je prolonge mon périple dans Mass Effect 2, hier soir j'ai récupéré un exemplaire de Dark Souls, et la version US de Tales of Graces F. Après une longue session de ME2, j'ai testé un peu Tales Of, et ça a l'air sympa, je m'y mettrais surement un peu plus après la fin de ME2. Dark Souls je me le garde pour un peu plus tard, quand j'aurais envie de medieval bien sale.

    Arrivée - DARK SOULS & TALES OF GRACES F


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  • En ce moment sur mon PC - MASS EFFECT 2 - LA SAGA CONTINUE

    Et me voilà reparti pour de nouvelles aventures avec le commander Shepard...c'est incroyable de commencer ce second opus juste après avoir terminé le premier. Le début du jeu est surprenant, je ne m'y attendais pas du tout, surtout quand comme moi on a saccagé un peu les entrepôt de cerberus dans le premier épisode. Et puis en suite petite déception, car d'une part on est un peu déstabilisé par le changement de gameplay, et l'orientation plus action du jeu au tout début. Ou se trouve mon inventaire, mes compétences, ect...en cela un gros point bien moisie dans le jeu, le didactitiel, n'utilise pas les touches remappées, et donc indique les touches d'origines, pas pratique pour débuter. Puis le sectionnement en missions, sortes de chapitres avec un écran de récap à la fin, c'est très peu immersif, et j'ai fait une petite pause avant de vouloir m'y remettre. Puis le soulagement le plaisir et la nostalgie font leur apparition avec l'arrivée de Joker, les retrouvailles avec le normandy(enfin le nouveau normandy), la taille de ce vaisseau est ahurissante, revoir le docteur était très émouvant. Je crois que c'est la première fois qu'un jeu réussie a faire cet effet sur moi. Avoir l'impression de retrouver des compagnons de route, c'est fou. Je ne me lasse pas de faire le maximum de missions annexes pour recruter avant ce qui semble être une bataille finale. Entre visages connus, nouvelles trombines, c'est un plaisir de découvrir de nouveaux environnements de toute beauté. Recruter des compagnons avec chacun leur histoire, et donc autant de missions supplémentaires. Mass Effect 2 est au final une bonne suite du premier, des grapohismes améliorés, et plus de missions, avec un léger retrait de la partie evolution du personnage. Par contre toujours autant de dialogues, et de choix à faire, c'est donc excellent, je ne sais pas si je suis proche du dénouement mais je ne suis pas pressé.


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  • En ce moment sur mon PC - MASS EFFECT 1 terminé

    Ouah...la claque, l'aventure, le meilleur space opera auquel j'ai pu jouer...Je viens de terminer Mass Effect 1, et c'est réellement un incontournable....Malgré les années, ce jeu est tout simplement génial, dans son gameplay, dans son histoire, et dans sa mise en scène. Jamais on a eu autant l'impression de d'avoir un impact sur une histoire. J'ai fait pas mal de quêtes secondaires, sauf sur la fin car je voulais connaître la suite de l'histoire, mais j'ai passé de belles et nombreuses heures sur ce titre. Un veritable chef d'oeuvre...


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  • En ce moment sur mon PC - MASS EFFECT - LA SAGA

    L'arrivée, et le buzz autour de Mass Effect 3, ont créé en moi l'envie de revenir sur la saga. N'ayant que partiellement joué au premier, j'ai décidé de le réinstaller, pour faire les 3 opus dans leur ordre chronologique. Un grand challenge m'attend, et des heures de sommeil en moins également.


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  • Arrivée - Mass Effect 2 & 3 - PC

    J'ai craqué pour Mass Effect 3 hier soir, ça me faisait envie, j'ai vu la review vidéo de BIBI300 concernant Mass Effect 2, j'ai commencé le premier il y a 3 ans sans le terminer. Et j'ai envie de replonger dans cette saga. J'ai récupéré le jeu via Gamefly pour 38€(32£), c'est le plus bas prix que j'ai pu trouver. Il s'agit evidement de la version PC, car comme pour beaucoup de jeux, les versions PC sont graphiquement supérieures à leurs homologues sur consoles. Dans la foulée je me suis pris Mass Effect 2 pour 20£, comme ça j'ai la trilogie.

     

     


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  • Des nouveautés sur PS VITA, des classiques sur PSP, et deux FF

    J'ai terminé Binary Domain la semaine dernière, et j'ai récupéré ma Ps Vita que j'avais gentillement prêté à une copine. Plutôt que de me faire uncharted, je me suis pris Dynasty Warrior Next....compulsif je vous dis. A côté de ça, J'ai réussi a trouver le juste rythme pour avancer dans Tactics Ogre, un peu le matin, un peu le midi, et conclusion de la bataille en rentrant chez moi. Ce jeu est génial, quel plaisir de réussir une bataille que l'on pensait impossible. Skyrim il faut que je m'y replonge, Escape Plan très marrant quand on a peu de temps. FF XIII-2, j'aime assez mais à petites doses, car j'accroche bien a l'histoire du voyage dans le temps, mais je ne suis pas fan du système de combat. Uncharted Golden Abysse, je sais qu'une fois dans l'histoire j'irais au bout, donc si ça se trouve la semaine prochaine il sera terminé. Et enfin FF VI, le top, après avoir lu tant d'éloges sur ce jeu, je me suis dit, "il faut absolument que j'essaye". J'ai le jeu sur un emulateur SNES qui tourne à merveille sur mon Galaxy Note. en plus il y a une sauvegarde automatique à la mise en veille, onc idéal dans les transports. Je n'en suis qu'au tout début, et j'ai hâte de découvrir le scénario dont tout le monde vante les rebondissements.


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  • Mon Coup de Coeur pour - ARKHAM CITY - PS3


    Petit retour sur l’Asile d’Arkham

    Deux ans après un premier volet aussi surprenant qu'éblouissant, dans lequel Batman avait à faire avec le Joker, dans l'Asile d'Arkham, le Caped Crusader revient sur nos consoles. Ce que j'avais adoré dans Batman Arkham Asylum, c'était cette sensation d'incarné un Batman, aux coups puissants et aux gadgets high-tech. C'était de pouvoir surprendre des ennemis dans le noir, rester suspendu la tête en bas en attendant qu'un « bad guy » passe juste en dessous, croiser la route des ennemis jurés de Batman. Arkham Asylum avait tout cela. Il était bien réalisé, et respectait les codes de l’univers du personnage, avec malgré tout une identité visuelle propre au titre.

    Mais il n’était pas parfait. De mon point de vue, le côté enquête, n'était pas assez poussé. C'était trop simple, on était en quelquesorte pris par la main, on suivait un couloir. A aucun moment le joueur devait réfléchir pour poursuivre « l’enquête». Par ailleurs, la vue détective de Batman était pour moi une trop grosse aide de jeu dans un environnement clos et finalement assez restreint. J'aurais préféré une vue sonar, qui affichait la même chose mais à la manière d'une onde, histoire de pouvoir repéré les formes et présences durant un cours instant et toujours avoir un risque. J'ai vu certains joueurs passé leur temps en vue détective...quel intérêt ?

    Alors, cette suite gomme-t-elle tous les défauts du premier opus, et surtout qu'apporte t-elle de plus ?

    Arkham Asylum City

    Batman A.C reprend quelques mois après la fin de l’Asile d’Arkham. L’ancien directeur de prison(Sharp) que nous avions sauvé des griffes du joker, est devenu le maire de Ghotam City, et a décidé de reconvertir un ancien quartier de Gotham en quartier pénitentiaire. Oui, en quelques sortes, c’est un asile d’Arkham puissance 10 juste à côté de ces chers habitants de Gotham. L’Asile…heu pardon Arkham city est protégée par les milices surentrainées et suréquipée Tyger, et il faut au moins ça pour surveiller cet endroit qui contient les plus dangereux criminels de Gotham, et accessoirement les pires ennemis de notre homme chauve-souris.

    C’est donc au moment de l’inauguration de cette énorme ville prison, que débute l’histoire, au moment ou Batman, déguisé en Bruce Wayne, fait une déclaration contre l’établissement. Soudain, en plein discours, de la fumée, des troupes Tyger, et notre bon Bruce incapable de se défendre, se retrouve enfermé dans Arkham City, avec d’autres détenus, qui n’avaient rien à y faire, comme les ouvriers ayant travaillés là, ou bien des médecins. On apprend que c’est le docteur Strange qui gère la City, que le Pingouin, le Joker et double Face se font la guerre.

    Je ne dévoilerai pas la suite du scénario, qui semble plus un prétexte à différentes Bat-missions qu’à une véritable histoire, mais qui finalement au bout d'un moment se révèle astucieusement efficace sur le plan de l'immersion dans Arkham city. On a vraiment l'impression de jouer dans un environnement où les protagonistes agissent seuls, au gré des communications que l'on intercepte. Effectivement, même si la carte contient des points de repère, on peut se balader où l'on veut et faire autre chose que suivre la trame principale. Cette dernière est en fait la croisée de différentes trames qui se croisent là où notre héros se trouve. Un peu comme si chaque super vilain de Gotham City, avait décidé de s'en prendre à Batman, mais chacun à sa manière.

    Un terrain de jeu plus grand, et une impression de liberté

    On se retrouve donc dans un univers au level design impeccable, et on se croirait dans une vraie ville, mieux encore on se retrouve plus que jamais dans le costume du Batman, libre d’aller où l’on veut, soit pour résoudre des énigmes d’Edouard Nigma, soit pour coller des pains aux hommes de mains des différents Vilains du jeu, soit pour accomplir des missions secondaires, qui nous amèneront à rencontrer des ennemis également puissants, et enfin, suivre la trame principale, qui tourne autour du Joker et du Docteur Strange. D’un point de vue vidéo ludique, on a le droit à une immense surface de jeu, qui enferme des bâtiments, dans lequel l’action se déroule un peu comme dans Arkham Asylum. Quelques temps de chargements sont présents, mais très rapide, ils ne nuisent pas à l’ambiance.

    La vue détective est toujours présente, et il peut être tentant de rester dans ce mode, mais la ville est tellement bien modélisé, et il y a tellement à voir, que l'on repasse vite en vue normale pour en profiter. Les espaces étant plus grands et les ennemis plus nombreux, cette vue est salvatrice pour répérer les lieux avant d'agir.

    Le combat c’est simple, et spectaculaire comme dans un comic book

    Le jeu repose sur 2 piliers importants, l’exploration et les combats. Pour l’exploration, en ville comme en intérieur, Batman dispose d’un grappin, il peut également planer en ville, et foncer sur ses ennemis ou vers le sol. On peut d’ailleurs atterrir directement sur un ennemis, depuis le haut d’un cloché. Le grappin fait des merveilles, voir la corde s’étiré vers une corniche de différente façon en fonction de la hauteur est un régal. Batman peut également grimpé, sauter et s’agripper aux différents éléments du décor. L’animation est assez époustouflante, et on ne remarque pas d’animation disgracieuse comme dans d’autres jeux de plateforme comme l’excellent Uncharted.

    En parlant du grappin, les bat-gadgets sont nombreux, le gel explosif, le grappin pour accrocher des surfaces, ou des objets, le Batarang, les bombes de fumées pour disparaitre dans les airs, et même un pistolet émettant des décharges électriques. A noter que cet équipement peut être amélioré comme le désire le joueur, à l’aide de point d’expérience.

    Le combat est aussi basique et jouissif que dans le premier volet. Le carré pour frapper, le triangle pour contrer, le rond pour assommer avec la cape, et la croix pour sauter et esquiver (2X). Et là, c’est le grand spectacle assuré, Batman virevolte entre les ennemis, il peut contrer 2 gars en même temps, on assiste à un déluge de coups, dans un ballet digne de l’opéra, mis en exergue par des plans rapprochés et ralentis qui donne une sensation de puissance, jamais ressentie dans un jeu de super héros. On retrouve des angles de vue comme si une planche de BD avait pris vie. Les bruitages sont d’un haut niveau, on entend le bruit sourd des coups, et les os qui craquent. Un bonheur, une jouissance vidéo ludique pour tout fan de l’homme chauve souris. A noté qu’au fur et à mesure de la progression notre armure souffrira, le petit plus qui fait classe. Le système si il peut sembler trop simple, à l'avantage de sublimer le plaisir du combat d'un point de vue visuel, et de limiter la frustration, car il s'agit ici plus de rythme et de réflexe que de combos fastidieux à sortir.

    Une nouveauté à noter dans certains groupes d’ennemis, certains d’entre eux auront une aura verte, il s’agira pour ceux là de les conserver en état durant le combat, tandis que leur petits copains seront écrasés entre nos poings et nos pieds, pour finir sur eux à l’aide de la touche triangle afin de les interroger, et révéler des énigmes et secret de l’homme mystère. Un petit challenge supplémentaire pour les combats, c’est toujours bon à prendre. Autre nouveauté, la possibilité d’utiliser des armes durant le combat, pour diversifier l’action. On peut ainsi utiliser le grappin sur les ennemis pour les attraper et les assomer.

    Un chat dans la place

    Le personnage de Catwoman fait partie de l’aventure, elle ne fait que quelques apparitions, mais on peut également effectuer des défis avec elles. Elle se joue de la même manière que Batman, avec des mouvements et des armes qui lui sont réservés. Lutte contre l’occasion oblige, Catwowan existe sous forme de DLC, ce qui signifie que si vous achetez le jeu en occasion, il faudra acheter le DLC pour jouer la belle féline. Le look de la féline est très réussie, cheveux court et grand yeux vert, un régal.

    Une réalisation sans faille et une durée de vie appréciable

    Je l’ai déjà dit, mais je vais insister, Batman Arkham City, s'il n’est pas le plus beau jeu du moment, est un titre qui ravira les spectateurs. L’ambiance de Gotham, le style graphique, les musiques et les bruitages, tout est fait pour s’imprégner au mieux de l’atmosphère lugubre des bas fonds de ce quartier. Essentiellement sombre, l’action reste claire, et je n’ai jamais été mis en difficulté à cause de la caméra, du grand art. Le design des personnages est génial, mais cela reste subjectif, les personnages gagnent en réalisme, au lieu de caricaturer la BD, et je trouve ce parti pris artistique excellent. L’animation ne souffre d’aucun ralentissement. On pourra toujours regretter que tous les décors ne sont pas destructibles, mais il y a tellement de détails dans ces derniers que ça n’enlève aucun plaisirs. Concernant la durée de vie, en y allant tranquillement (mon rythme est de 2 ou 3h de jeu par jour quand je peux), le titre ne se termine pas en une après-midi. Il y a beaucoup de choses annexes à effectuer, toutes les actions sont récompensées par des points d'expérience. Il y a également un mode difficulté à débloquer, où l’on reprend l’histoire de début, mais avec toutes les améliorations acquises. On peut également supprimer les aides en cours de partie, afin de se sentir moins accompagné. Par ailleurs, il existe encore la section défis, et les différentes cartes, pour s’amuser à repousser des vagues successives d’ennemis.

    Excellent élève, peut encore mieux faire ?

    Avec tous ces éloges, le jeu peut il encore être amélioré ? Bien sur. J’aimerais avoir un jeu dans lequel l’enquête n’est pas un prétexte pour se déplacer de point en point. J’aimerais qu’il existe un vrai challenge pour comprendre une intrigue. J’aimerais pouvoir placer des gangs sur écoutes et les intercepter avant un casse, j’aimerais découvrir un complot par moi-même, assembler assez de preuve pour trouver par moi-même dans quel bâtiment se trouve un super vilain. J’aimerais élaborer une tactique pour rentrer en douce dans ce bâtiment, même si pour cela je devrais augmenter mes compétences. Il serait sympa également de pouvoir rentrer au manoir Wayne sans se faire détecter, se changer en Bruce Wayne quand on en a envie.

    J’aimerais pouvoir tendre des pièges à des supers vilains, pour éviter de devoir faire un gros combat de fin de niveau comme dans tous les Beat Them all. Encore une feature que j’aimerais, pouvoir enregistrer des séquences et faire un montage pour créer ses propres séries animées du Dark Knight, avec ses propres musiques, et sa propre mise en scène. On peut toujours rêver.

    Conclusion

    Batman Arkham City est excellent, évidement indispensable aux fans de Batman, et des comics books. On est loin des jeux spider-man, relativement moyen. Ici, on sent que le jeu a été réalisé par des fans du chevalier noir, et de son environnement. Le jeu se laisse dévorer sans jamais devenir indigeste, même s'il peut sembler répétitif, le système de combat est addictif, tellement il fait honneur au Dark Knight et à ses compétences de corps à corps. Foncez l'acheter, vous ne regretterez pas.

    Merci RockSteady pour cette fantastique aventure.


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  • Mon Coup de Coeur Pour - SKYRIM - PC

    Qu’il est loin le temps où j’arpentais Arena, le premier épisode des Elder Scrolls, dans ma petite piaule de banlieue…au milieu d’un bordel composé de boîtes de jeu(oui ça a existé, avec des documentations même, en couleurs, parfois avec des cartes sur tissus ou papier..), de cartes graphiques et de cartes mères, de boitier PC entassés, de joysticks, de livres sur la programmation, de feuilles volantes remplies de cours d’économie et de math. Mais déjà, déjà à cette époque, je kiffais les jeux qui s’approchaient d’un jeu de rôle sur table. Je ne parle pas ici, des jeux que l’on considère comme étant des jeux de rôles parce qu’il y a une feuille de personnage de format A3, remplie de centaines de caractéristiques afin de savoir si oui ou non une fourchette pourrait nous être fatale via un coup critique, non, je parle de ce style de jeu, ou vous êtes réellement dans un monde qui vit autour de vous ou même à côté de vous. Bien sur, le chemin parcouru par la série, a parfois eu mauvaise critique, notamment pour sa partie technique souvent comparée à des records de bug en tout genre. Mais quand même, quelle belle destinée que celle des Elder Scrolls…

    Déjà à l’époque de Morrowind, la série avait de nouveau attiré des joueurs, et je pense qu’avec Oblivion, et les ex-nouvelles consoles, cela a encore permis de grossir les rangs des aventuriers en herbes…le cinquième épisode, est en quelque sorte une consécration, un pas en avant dans le mieux, une expérience savoureuse, de ce que les développeurs et designer de Bethesda, savent sortir des entrailles de nos machines que ce soit sur console ou PC.

    Soyons clair, pour moi un Elder Scrolls, se joue sur PC..C’est moins cher et plus joli que sur console, donc je ne me prive pas. Apparemment les versions consoles sont assez agréables, et mis à part quelques soucis sur la version PS3, les joueurs n’ayant pas de PC, ou pas de Pc assez puissant, peuvent profiter de manière correcte du dernier rejeton de Bethesda avec un pad en main. Pour info, je n’ai jamais terminé un Elder Scrolls, souvent par ennui car les jeux au bout d’un moment me lassaient…c’est le cas aussi pour d’autre jeu, à partir du moment où le fun n’y est plus, je me tourne vers un autre style de jeu…c’est comme ça c’est dans mon caractère, je ne me force pas à jouer si c’est uniquement pour arriver au bout, et me dire je l’ai fini… »C’était chiant mais je l’ai fini »…très peu pour moi, les jeux que je termine, c’est que je les adore jusqu’au bout, qu’ils me donnent envie en permanence d’y jouer…Maintenant que les présentations sont faites, passons à table, il y a devant nous un énorme buffet à déguster ou à engloutir.

    Mise en bouche : soufflé de dragon sur son lit de plates givrées ….

    Le début de Skyrim, est une introduction aux mécanismes du jeu, un tutoriel, bien orienté, et donc très dirigiste, qui peut faire peur au départ…c’est scripté et pas super bien doublé en plus (oui j’ai une VF Steam)…on est un prisonnier apparemment capturé par Hasard et sa copine Injustice, que l’on amène au billot en compagnie d’autres infortunés…c’est à ce moment là que l’on fait le choix de notre personnage…et c’est là que certains vont gueuler, et d’autres vont trouver cela suffisant. Je fais partie de la seconde population. La création de personnage dans Skyrim, se résume à choisir ses origines, et son apparence. Les origines permettent d’avoir des attributs en plus, des compétences, ou des bonus. Alors il n’y a pas de feuille de personnage, pas de caractéristiques, mais ce qui fait un jeu de rôle, croyez moi ce n’est pas ça. Le besoin d’une fiche de perso dans un jeu de rôle sur table, provient du fait qu’il permet de se représenter le personnage, de le modéliser, et d’aider l’imagination des joueurs à définir son personnage. Ici le personnage se trouve devant nous, on voit à quoi il ressemble. De plus un personnage n’existe que par ses actes, et plus on fait quelque chose, meilleur on devient…ce n’est pas en me battant à l’épée que je vais devenir meilleur crocheteur de serrure…non ? Voila comment ça se passe dans Skyrim, chaque compétence gagne en expérience quand elle est utilisée, le changement de niveau (on garde ce terme c’est dommage) permet d’obtenir des spécialités complémentaires, mais sont soumises à des seuils de niveau de compétences. Par exemple, si à force de me battre avec une arme à deux mains ma compétence augmente, je vais grimper en niveau. Je vais avoir le droit d’utiliser entre 1 et 2 points dans n’importe quelle spécialité. Mais alors me direz vous, je peux dépenser des points dans le crochetage alors que je n’ai fait que tabasser du gredin ? et bien oui et non, car si vous n’avez pas assez d’expérience dans le crochetage, ce qui veut dire que vous ne l’avez pas assez utilisé, et bien vous n’aurez pas le seuil nécessaire pour acquérir des spécialités liés au crochetage. Pour moi, c’est un excellent système, très ouvert et très simple, qui ne limite pas à des classes de perso, et qui permet de se façonner un personnage, complètement en adéquation avec notre façon de jouer, en somme un vrai jeu de rôle. Au rang des compétences, on trouve les différentes magies, l’alchimie, le crochetage, les Arme à une main, à deux mains, ect…chaque compétence à un arbre de développement dans lequel on trouve des spécialités. Par exemple, la possibilité de trancher la tête d’un ennemi avec une arme à deux mains…qui, quand cela arrive, est un régal pour les yeux…Bref, la voie choisie pour l’évolution du personnage, est de mon point de vue, une belle réussite. D’autant qu’à part les niveaux dans les compétences, on ne voit pas notre personnage comme un ensemble de chiffres et de caractéristiques…mais reprenons notre introduction à Skyrim, une fois notre personnage définie (on peut vraiment faire ce que l’on veut aussi bien en gabarit qu’en faciès), la vue passe de la première personne à la troisième personne (habile mise en scène non ?)…nous sommes le second sur la liste à devoir faire connaissance avec la justice des hommes…mais, juste avant que notre corps et notre tête ne décident de se séparer à l’amiable sous l’œil bien veillant de notre bourreau et de sa hache, un dragon énorme surgit de nulle part (enfin de nulle part dans le ciel), et commence à disperser les différents occupants des lieux..à coup de flammes et de griffes….profitant de l’occasion, avec l’aide d’un autre personnage(nous avons d’ailleurs le choix du compagnon à suivre), nous échappons à cet enfer….voila le début de Skyrim…..lors de cette première partie en forme de fuite, on apprend les commandes de base, on se bat, on court, on saute, on fouille des corps, et on découvre l’inventaire…et…et mais qu’est-ce que c’est qu’ce truc là dis ? un inventaire digne des plus belles consoles de salon, pas de fiche de personnage, pas d’inventaire où l’on peut admirer la tenue de son personnage…des menus à la Windows Phone, et en versions textes et chiffres…bon alors là au début on se dit, il doit y avoir une option pour basculer en mode PC…mais en fait non…c’est la même pour tous…dommage

    L’interface est pénible, et peu pratique…du moins elle le devient par la pratique…car à force de jouer, on s’y fait…ce n’est donc pas une excuse pour ne pas jouer à Skyrim, au moins c’est clair, et simple, c’est juste qu’une gestion de liste, c’est bof.

    Une fois hors de danger, notre compagnon nous souhaite bonne chance, en nous indiquant la direction d’un village non loin de là…et voilà nous y somme, en plein Bordeciel (traduction de Skyrim), seul en vie, en ce demandant quoi faire…..oui quoi faire…..et maintenant que vaiiiis jeee faireuhhhh…

    Entrée : réduction de bandits sauce aux loups

    Les combats dans Skyrim, son assez bourrins, car il s’agit d’appuyer sur un des 2 boutons de la souris pour donner un coup avec l’arme de la main droite ou celle de la gauche…ce qui est plus fin, est le fait de pouvoir mettre une arme différente dans chaque main, ou un bouclier et une arme, ou bien un sort différent dans chaque main, ou le même. Le côté bourrin est lié au fait qu’il n’y a pas de localisation des dégâts, et pas ou peu d’effet d’inertie. Je dis ça car au départ je pensais que les coups n’étaient pas du tout retranscrits sur les ennemis, mais par exemple avec un grand coup d’arme à deux mains, il y a quand même un léger recul de l’adversaire, plus visible chez ceux qui ont un bouclier. Par contre il y a bien un effet d’essoufflement, lié aux points de vigueur de notre personnage, et ça c’est sympa, car même si ça semble bourrins, il faut respirer de temps en temps et donc patienter et ne pas frapper à l’aveugle. Alors après on peut faire pause, quand on veut, boire des potions pendant la pause, changer ses armes, ect…d’ailleurs c’est assez vite le foutoir avec l’inventaire en liste, et on a vite fait d’utiliser le seul menu rapide via la touche A. Mais on ne peut pas préparer des sets d’armes il faut reconfigurer main gauche et droite à chaque fois…c’est fastidieux. Petite astuce on peut utiliser les touches 1 à 8 comme raccourcis, pour cela il faut dans le menu rapide une fois l’objet mis en surbrillance, appuyer sur l’une des touches de 1 à 8…c’est toujours ça. Du coup les combats sont très peu tactiques. Les tactiques les plus efficaces étant de pouvoir se planquer et de tirer à l’arc ou avec des sorts de destruction quand les ennemis sont loin, ou se blinder de protection et se shooter à la potion pour ne plus rien ressentir (froid, feu, foudre)…puis utiliser des potions de vie avant de mourir. Comme ça, en l’écrivant ça me fait un peu penser à Diablo, où il faut avoir les doigts en permanence sur les raccourcis pour être sous perfusion de mana et de vie, tandis qu’on latte allègrement avec les touches de la souris. C’est beaucoup moins tactique qu’un Dragon Age, mais ça reste plaisant, et j’adore les petites cinématique de mise à mort, elles arrivent de temps en temps, et ça fait plaisir de voir un ralenti de coup bien donné dans la tronche de l’ennemi, ou encore de le voir se faire décapiter…une sorte de petite récompense après des combats acharnés, à jongler entre soins, armes et magie.

    Filet de Dragon à la plancha

    Les Dragons sont dans leurs repères, parfois une tour, parfois un nid. Entendre un Dragon, c’est passé en alerte niveau 10, et scruter le ciel, car un Dragon on l’entend longtemps avant de le voir. On profite à ce moment là de l’excellente distance d’affichage, et du fait que quand on voit une montagne, c’est que l’on peut y accéder, elle existe, ce n’est pas simplement une image. Les combats contre les dragons sont des moments d’intenses émotions dans Skyrim, ils sont d’ailleurs accompagnés par une musique épique, avec des chœurs dignes de ceux de l’Armée Rouge. Les dragons sont imposants, ils volent, ils crachent du feu ou de la glace. Il est intéressant de s’apercevoir, que nous ne sommes pas leur cible privilégiées, en effet, ils attaquent également les PNJ, qui trainent dans le coin ou bien les animaux. Combattre un Dragon est assez délicat, mis à part le premier combat, qui était assez court et simple, mon second Dragon, a été assez coriace. Perché en haut de sa tour, j’ai du utiliser des parchemins de tempête de feu, et du blizzard, puis des sorts stalactiques à deux mains, pour le faire chuter. Et encore, à un certains moment, qui pour moi est le plus délicat, le Dragon reste à Terre, et continue à pouvoir vous faire cramer ou geler, mais là n’est pas le plus grand danger. J’ai appris à mes dépends, qu’être en face de la gueule d’un Dragon blessé, même avec mon marteau Orc, n’est pas une bonne chose. Alors que je reprenais mon souffle entre 2 coups de marteau, le Dragon m’a littéralement pris dans sa gueule, puis m’a fait virevolter telle une poupée de chiffon. Il faut continuer à bouger pour éviter une telle mésaventure et ne pas rester en face de lui, les potions de soins, anti-gel anti-feu, et de résistance sont également les bienvenues. Mais après un dur labeur, et un combat acharné, la récompense de voir le Dragons se désagréger, et d’absorber son âme afin de débloquer les pouvoirs des mots de dragon, est bien réelle. C’est une vrai satisfaction que peu de jeux vidéos arrivent à nous donner ces derniers temps.

    Bris de mots sur lit de chardons

    Les mots de Dragons sont notre pouvoir à nous, puisque nous sommes enfant de Dragon. On découvre ces mots anciens dans des caves, des mines, des donjons, des sanctuaires, au fil de nos missions et lors de nos balades dans la nature. Mais pour utiliser leur pouvoir (appelé cris), il faut les activer, à l’aide des âmes que l’on récupère en tuant les Dragons . Le système est assez sympa, car même si l’on découvre facilement ces mots de pouvoirs, il faut aller fourailler avec un Dragon pour espérer pouvoir l’activer, une sorte de quête secondaire principale tout au long de l’aventure.

    Farandole d’effets climatiques et ses mignardises aux effets spéciaux

    Cet article est rédigé en plusieurs fois, en fait c’est simple dès que je joue à Skyrim, j’ai envie de raconter mes aventures, mes souvenirs. On a vraiment l’impression de vivre une seconde vie dans Skyrim, j’ai réellement l’impression d’avoir effectué un voyage dépaysant et de m’en rappeler comme d’un weekend que j’aurais effectué. L’effet d’immersion est renforcé par une réalisation assez classe des effets climatiques, du cycle jour/nuit, des bruitages de la nature, des rencontres soudaines avec des ours, ou des trolls, alors que l’on admirait le paysage. Les effets des sorts sont assez classes également, il suffit d’avoir déclenché une tempête de feu ou de blizzard pour s’en rendre compte, c’est du grand art. Les différents donjons, semblent tous uniques, avec leur ambiance propre, rien d’aléatoire et de répétitif, chaque lieu découvert apparaissant sur la carte, est une invitation à aller fouiller et à plus de découverte. Point important, quand on trouve des cartes de la région, les informations sont ajoutés sur notre propre carte, et ça, ça je trouve que c’est une petite chose qui en dit long sur le souci du détail et la cohérence du jeu. Bien sur, il reste toujours une foule de choses qui sont elles, plutôt incohérentes, mais on est tellement à fond dans l’univers, que l’on ferme les yeux dessus.

    Bon j’aurais quand même aimé pouvoir me protéger du souffle du dragon en piquant une tête sous l’eau, ce qui n’est pas le cas, il aurait été sympa également que l’eau se transforme en glace sous l’effet d’un souffle de froid, peut être que certains Mods le feront un jour.

    Pudding d’alchimie, de ferronnerie, et d’enchantement

    Les armes, armures, bijoux, potions et enchantements peuvent être créés par nos soins. Forges, kit d’alchimie, et autel d’enchantement peuvent être trouvés dans différents endroits, même les plus reculés de Bordeciel, mais toujours avec cohérence. Par exemple, dans le nord, dans la hutte d’un alchimiste décédé, se trouvait des alambics, et des potions…et non pas un coffre plein d’or, ou bien un tas d’épées. Le seul reproche que je ferais c’est que pour l’instant, je n’ai pas vu l’intérêt de faire ses propres armes, car elles sont d’un niveau faible par rapport à celle que l’on trouve au fur et à mesure de notre progression.

    Par contre la création de potion et de poison est utile pour se concocter des préparations avec tous ce que l’on récupère sur les différentes bestioles que l’on affronte. Et utiliser du poison sur des flèches ou bien une lame, c’est efficace et bien utile. L’enchantement peut être récupéré depuis des objets déjà enchanté(en les brisants), pour être utilisé sur les objets de votre choix, assez bien pensé je trouve. Pour l’instant je n’ai pas utilisé les cristaux d’enchantement, pas eu le temps de m’en occuper.

    L’addition s’il vous plait

    Comme déjà précisé plus haut, Skyrim est un véritable bijou ludique, et plus que cela, il est un véritable plaisir tout court. Hier, j’ai joué après un peu plus d’une semaine sans y avoir touché, et je me suis à nouveau émerveillé devant les détails sur les armures, les formes des objets, l’apparition d’un Dragon, la découverte d’une nouvelle région, celle de Fort d’Hiver, entourée de glace, d’un conflit intérieur, de son académie de magie, des serpents de glaces.

    L’impression d’être sur une banquise avec des icebergs, de vieux monuments à la gloire de Thalos, des autels, des huttes des bandits, des loups des glaces, des ours troglodytes…des esprits du froid…et tombé en extase devant une aurore boréale…bon par contre je me rend compte que mon personnage, la délicieuse Cassandra, est un peu juste devant certains ennemis, et heureusement que je peux recourir un peu au cris pour me sauver dans certaines situations. Ma dernière grosse trempe, je l’ai prise contre 2 magiciens dans un fort qui m’envoyaient des stalactiques et des tempêtes de froid dans la tronche alors que j’essayais de les faire tomber sous mes flèches, planqué dans les rochers non loin du fort. Les 2 magiciens l’ont joué fine, en m’encerclant, en se cachant entre chaque lancé, en se régénérant quand il avait peu de vie. Il va falloir que j’augmente la puissance de mon tir à l’arc ou de ma résistance à la magie du froid…et je reviendrais m’occuper d’eux.

    Je n’ai pas encore parlé de l’histoire dans Skyrim, afin de ne pas spoiler, mais aussi, parce qu’elle est longue et assez complexe. Pour résumé, on se retrouve au milieu de conflits politiques, de guerres d’opinions, et de factions, de conflits plus locaux, et avec ça la prophétie sur l’enfant de Dragon que nous sommes. Sans parlé des petites querelles, des légendes, et des rumeurs. Par exemple à fort d’hiver, une partie de la ville s’est écroulé, et une partie des gens pensent que c’est de la faute des mages de l’académie, et évidement il se trame quelque chose à l’Académie. En fait il y a un niveau local en plus du niveau de conflit global, et ça ne fait que renforcer notre immersion et notre impression de vivre ailleurs le temps d’une partie. Et encore, je ne vous ai pas parlé de la lycanthropie, d’une certaine guilde…ça vous tenterais vous, de devenir un Loup Garou…

    Vous l’aurez compris, ce jeu est excellent, il est agréable, il y a plein de chose à découvrir, à faire, à voir, à lire. C’est un grand jeu de rôle, un grand jeu vidéo, mon jeu préféré de l’année 2011.


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